mercredi 24 décembre 2008
le temps est si relatif...
mardi 23 décembre 2008
et toi, es-tu dans l'esprit des Fêtes?
À la maison, les cadeaux de Noël trônent sous l'arbre. L'arbre qui, faute de pied adéquat, se retrouve en position traditionnelle. La crèche est dans son plus simple appareil : le poupon arrivera que dans la nuit du 24 au 25, les rois le 6 janvier... La maison est emplie de parfums d'épices, preuve que d'être deux est motivant pour la création de petits plats. La pièce supplémentaire, toujours sans meubles, prend des allures de mini-curie. L'Homme qui m'accompagne, déjà en congé des Fêtes, profite de ses congés en célibataire pour décaler ses heures de sommeil. Finalement, je n'aurai pas enfilé de palmes cette année, mais je compte bien troquer les palmes pour des raquettes entre Noël et le Jour de l'an.
À tous, je vous souhaite un joyeux temps des Fêtes...
PS: Coloc, quand est-ce que tu passes à la maison pour recevoir ton cadeau?
lundi 15 décembre 2008
vendredi 5 décembre 2008
comme une page qui se tourne
J'ai beau être heureuse de partager officiellement l'appartement avec l'Homme qui m'accompagne, lorsque Coloc a refermé la porte hier j'avais le moton... C'est une page de l'histoire qui se tourne. Les années de colocation sont maintenant derrière moi.
L'Homme qui m'accompagne et moi prenons tranquillement possession d'une nouvelle pièce, des armoires et rangements laissés vacants et de la moitié gauche du frigo. Nous sourions à chaque fois que nous trouvons une tablette vide à remplir. Nous profitons de nos nouvelles tables de salon. Nous reprenons l'habitude de se dire ce que nous avons à nous dire au fur et à mesure. Nous recommençons à nous apprivoiser. En somme, nous écrivons une nouvelle page de l'histoire de Cendrillon.
mercredi 19 novembre 2008
message à mon canotier
Déjà un an de ballade! Je n'ai pas vu le temps passer. Il y a un an, tu me disais, pour calmer l'insécure en moi, qu'on était dans le même canot. Il y a un an, on a choisi de s'abandonner au jeu de l'amour. Un an, c'est long. Cette année-là a passé si rapidement.
On a appris à se connaître, à apprécier nos qualités et à composer avec nos travers. On a appris à se faire confiance. On a partagé des passions. On s'est encouragé dans l'adversité. On a rit de la théorie des souliers. On a partagé des repas, ensemble et avec les membre de notre entourage respectif. On s'est taquiné. On a rit. On a chanté. On a écouté Le Bigot, Bertrand, Villedieu, Bazzo et Jack. On a vu des spectacles. On a participé, assisté, visionné des courses. On a appris à dormir à deux. On a été malade et plus en forme. On a couru et pris notre temps. On a roulé un nombre incalculable de kilomètres. On a fait des projets. On a usé, pour ne pas dire détrempé, une tente. On a profité du soleil sur une plage. On a observé des oiseaux. On a flatté l'écorce de mon arbre. On a traité Koivu de cancéreux et Pauline de critiqueuse. On a lu nos horoscopes et les manchettes du Journal de Montréal. On a créé des traditions. On a affiché des dessins d'enfants sur notre frigo. On a monté une voiture téléguidée. On a participé à un concours de photos. On est allé à un baptême, des funérailles, une fête d'enfants. On a pris le temps de se parler. On a fait à manger. On a rencontré des connaissances à l'épicerie. On s'est pris par la main. On a subit les aléas de la température. On a goûté de nouveaux mets. On a dormi dos-à-dos. On a souri en se réveillant. On a fait changer les noms sur mon bail. On a envoyé des coups de klaxon à l'autre à tout moment. On a enduré le bruit de la circulation. On est devenu amis sur facebook. On a apprécié la complexité de l'autre. On a partagé des moments parfaits et imparfaits...
On en a fait des choses! Et finalement, j'ai encore autant, sinon plus de projets à faire avec toi. J'ai à la fois l'impression qu'on s'est rencontré hier et qu'on se connaît depuis toujours.
Merci pour le voyage que tu m'offres.
lundi 10 novembre 2008
ressentir un vide, juste là...
lundi 3 novembre 2008
je bogue...
lundi 27 octobre 2008
comme une empreinte indélébile au cerveau
samedi 25 octobre 2008
je vois des vedettes dans mon assiette...
mercredi 15 octobre 2008
avez-vous gagné vos élections?
Et au final? J'ai prédit 74 des 75 résultats et l'Homme qui m'accompagne, 69 des 75. Mention d'honneur à l'Homme qui m'accompagne pour une première expérience, 92%, c'est fort! Je savoure ma victoire, en attendant d'avoir du Cowboys pleins les oreilles...
vendredi 3 octobre 2008
cracher en l'air; l'engagement d'une princesse à ne plus cracher!
Hier soir, j'étais en réunion pour le travail, lorsqu'est passé à la maison, mon ancien prince... J'imagine à peine l'ambiance: on sonne à la porte, Coloc qui demande à l'Homme qui m'accompagne s'il attend quelqu'un, "Non", répond-il, Coloc qui se lève et balbutine "Hey, l'ancien prince, ça fait un bout, tu veux quoi?", "Cendrillon habite-t-elle toujours ici?", "Oui, mais elle est en réunion ce soir", "J'avais quelque chose pour elle, je vais repasser".
À mon retour, Coloc m'attendait avec la nouvelle, que dis-je, le maléfice, du retour prochain de l'ancien prince à notre porte. Et l'Homme qui m'accompagne qui se questionne sur le fait que l'ancien prince n'appelle pas avant de se pointer... Si vous saviez combien j'ai pu lui expliquer et réexpliquer, que je n'aime pas les surprises, que je ne veux pas de surprises, que ça m'exsaspère, que je ne veux plus qu'il débarque chez moi à l'improviste... J'imagine à peine la scène si Coloc avait été au travail... L'Homme qui m'accompagne devant l'ancien prince, ne sachant qui il est et comprennant trop tard ce qui se passait... Lorsque je serai Reine du monde, j'inventerai une loi, obligeant les anciens princes à s'annoncer et à obtenir l'autorisation de la princesse avant de s'aventurer sur le royaume de la princesse, c'est juré! Depuis près d'un an, que l'ancien prince n'était pas passé... J'ai cru mercredi soir qu'un an sans nouvelle était synonyme d'oubli.
Alors, tenez-vous le pour dit: quand on crache en l'air, ça nous retombe s'ul nez... [Coloc, c'est promis, je ne rirai plus lorsque ton ex appellera...]
dimanche 28 septembre 2008
démocratie et péripéties...
Je demeure dans le même appartement depuis l'été 2005. Aux dernières élections fédérales, en janvier 2006, j'ai voté dans la circonscription de Trois-Rivières. Cette année, croyez-le ou non, ma carte d'électeur me dit que je voterai dans Berthier-Maskinongé. Coup de fils à Élections Canada. On m'a tout d'abord dit qu'en 2006, j'avais voté pour les candidats de Berthier-Maskinongé (euh, je me souviens pour qui j'ai voté et je peux jurer que c'était un candidat de Trois-Rivières, mais bon...). On m'a expliqué qu'il était possible que le bureau de vote était dans la circonscription de Trois-Rivières, mais que si j'avais bien lu les choix, j'aurais vu que je votais dans l'autre circonscription. Ensuite, un supérieur m'a confirmé que les deux circonscriptions sont, depuis toujours, délimitées par le chemin de fer, celui entre mon chez-moi et la circonscription de Berthier-Maskinongé, mais, lorsque j'ai dit que ça prouvait que je devais voter dans Trois-Rivières, on m'a bêtement répondu "Je ne sais pas, j'habite pas Trois-Rivières, moi". J'ai vérifier sur les cartes d'Élections Canada, je vois le bout de rue où j'habite sur la carte de la circonscription de Trois-Rivières. Je rappelle. On me transfert ailleurs. On me répète que le chemin de fer est la limite et on n'arrive pas à comprendre que ma carte d'électeur dit que je suis dans Berthier-Maskinongé même si j'habite du côté Trois-Rivières du chemin de fer. On vérifiera... On me rappelle pour finalement me dire que la limite est, depuis toujours, une rivière aujourd'hui asséchée qui n'est malheureusement plus visible, mais qui était à l'est de ma maison... J'arrive difficilement à comprendre comment, pendant le dernier mandat, j'ai pu changé de député sans en être avisée... Ma foi en la démocratie en prend un coup, là, maintenant.
Le pire c'est qu'il faudrait que je trouve normal de changer de circonscription entre deux élections, et ce, sans aucun préavis.
Désolée, mais j'y arrive pas!
mercredi 17 septembre 2008
vie et souffrance humaine
Hier, nous avons appris que la souffrance a gagné sa bataille face à un collègue, qui épuisé a mis fin à ses jours. Depuis, cette souffrance s'empare de ceux et celles qui étaient proches de lui comme une épidémie. Nous devons garder l'oeil ouvert, dépister ceux qui pourraient s'effondrer sous le poids de la souffrance, éviter la contagion.
Parfois, l'Homme qui m'accompagne me lance à la boutade lorsque je dois aller travailler: "Va donc sauver des vies!". Je ne sauve pas des vies, j'essaie simplement de faire en sorte que les gens, devant la souffrance, ne s'écroule pas. Lorsque les premières briques tombent, l'écroulement devient rapidement inévitable, le choix de mourir pour arrêter la souffrance se cristallise. Je ne suis pas un super héros qui peut retenir un gratte-ciel d'une main et colmater une fissure dans un barrage de l'autre. Je suis comme tout le monde, ébranlée par la souffrance lorsqu'elle se pointe. J'ai, jusqu'à maintenant, réussi à sortir grandie de chacune des souffrances qui m'ont assaillie. L'espoir est ma clé. Croire à un monde meilleur, à des moments d'accalmie. Croire à l'utopie d'un monde sans souffrance.
lundi 8 septembre 2008
l'embrasure de la porte de la salle de bain et sa magie
De l'embrasure de la porte de la salle de bain, je retombe en enfance. De ce coin sombre, je crois à l'Amour, celui avec le fameux grand A, celui qui rime avec toujours. De l'embrasure de la porte de la salle de bain, mes doutes s'estompent pour faire place à une foi. Difficile d'expliquer, mais de là, j'arrive à croire que j'ai trouvé le bon, que l'histoire peut finir par "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Dans l'embrasure de la salle de bain, tout semble possible.
Hier, du canapé, j'ai croisé le regard de l'Homme qui m'accompagne, m'espionnant de l'embrasure de la porte de la salle de bain. L'étincelle de son regard semblait dire "tout est possible".
lundi 1 septembre 2008
entendu en milieu de travail
Euh, je ne sais pas, mais, si on s'est rendu jusqu 'à la fin, c'est qu'on a trouvé une finalité aux dites choses, non? N'est-ce pas là un bel exemple de redondance? :-)
jeudi 28 août 2008
pas de place
Quelqu'un aurait un catalyseur à proposer?
vendredi 22 août 2008
Piece of cake
J'avais envie de vous partager cette tranche de vie.
jeudi 14 août 2008
ce soir, il y aura une pluie d'étoiles filantes
Il y a des rituels qu'on ne se résout jamais à laisser tomber: les étoiles filantes d'août, saluer grand-papa Bastringue à la vue d'un cimetière, faire un tata à la croix de bois que je croise en allant chez ma mère, aller en pélerinage auprès d'un arbre lorsque la vie fout le camp et manger des jujubes en forme de framboises lorsque l'axiété est à son comble. Des rituels qui nous rappelle nos racines. Des rituels fous qui font sourire. Des rituels qui marquent les moments plus difficiles, ceux qui nous ont construit.
Ce soir, levez les yeux au ciel, il y aura une pluie d'étoiles filantes...
Luciole perce la brume,
Clan des Perséïdes
mercredi 13 août 2008
l'art de la nature...
De la même manière, la vue d'un héron en vol arrive à m'apaiser lorsque mon esprit bouillonne. Prendre le temps de regarder en l'air, m'a apporté beaucoup plus que ce que je croyais possible.
samedi 2 août 2008
quand le soleil dit bonjour...
On s'était dit qu'un peu de pluie durant nos vacances nous permettrait de se reposer sans se sentir coupable... Je ne me sens pas coupable, mais, un peu de soleil ne ferait pas de tort non plus!
vendredi 18 juillet 2008
deux jours
mardi 15 juillet 2008
petite recette gagnante
Dans l'habitacle, mettez une pincée de musique, une poignée de rayons de soleil et quelques brises d'air climatisé.
À destination, mettez ensemble dans un salon deux bonnes amies d'enfance et les Hommes qui les accompagnent, laissez macérer.
Brassez le tout jusqu'à ce que l'Homme qui vous accompagne succombe à quelques jeux de mots et fasse un premier sourire.
Riez en coeur de l'amie d'enfance qui échappe du riz partout sauf dans les assiettes.
Partagez le pain, le porc, les légumes et le riz en refaisant le monde.
Écoutez quelque sketchs de Pérusse et sortez voir le soleil.
Montez une côte à pied, pour gagner le droit de manger une délicieuse crème glacée européenne.
Profitez de la vue pour rêvasser un peu.
Redescendez la côte (on peut plutôt dire, roulez votre corps vers le bas de la côte).
Choisissez un jeu (pas vérités/conséquences, pas le monopoly, ni le Trou d'cul) et jouez!
Reprenez la route, le coeur rempli de joie, avec un Homme qui vous accompagne ayant retrouvé le sourire qui vous manquait tant.
Laissez la main de l'Homme qui vous accompagne vous caresser l'avant-bras et savourez!
vendredi 11 juillet 2008
tout est dans le regard...
jeudi 10 juillet 2008
l'été, l'été, c'est fait pour jouer, l'été, l'été, l'été...
Hier, cependant, je me suis mise à espérer une chute de mercure. Hier, l'Homme qui m'accompagne s'est réveillé marabout, parce que l'humidité n'avait pas tombé durant la nuit. Hier, envers et contre moi, j'ai espéré l'orage, la pluie, le 20°C... Hier, j'aurais aimé que la population québécoise ait une meilleure tolérance à la chaleur, une meilleure mémoire, pour se rappeler qu'avant cette vague de chaleur, tout le monde se plaignait du temps frisquet. Hier, j'ai cru qu'un orage puisse venir à bout de la mauvaise journée de l'Homme qui m'accompagne. Et lorsqu'hier soir, le ciel s'est remplis de nuages noirs et que a pluie a enfin tombée, j'ai reçu une douche d'eau froide... L'Homme qui m'accompagne, déçu de ne pas avoir eu le temps de faire de la course à pied avant la pluie, n'a pas retrouver le sourire...
dimanche 29 juin 2008
entendu à Donnacona
-Non, pas en public!"
samedi 21 juin 2008
pathétique
Avec le temps, avec les déceptions, on arrive à se former une carapace. Cette carapace fait en sorte qu'on arrive assez bien oublier qu'on a un père. On arrive à ne pas penser à lui pendant des jours, des semaines, voire des mois. On arrive à ne pas se sentir coupable. Puis, le jour de notre anniversaire, alors que la fatigue l'emporte et qu'on réalise qu'il n'a pas appelé, on ressent un trou dans la carapace. On prend conscience que ça fait pratiquement 5 mois que nous n'en avons aucune nouvelle. On prend conscience de la faiblesse de la relation père-enfant. Et la culpabilité nous prend. C'est fou de se sentir coupable après que notre père ait oublié notre anniversaire. Mais ce père est si habile pour remettre la faute sur les autres... Et on espère, on espère qu'il ait recommencé à boire et que ça excuse son oubli. On espère qu'il n'ait pas fait cet oubli à jeun. Puis on rêve de vengeance... la Fête des Pères approche. On est tiraillée pendant des semaines. Et on décide de ne pas se venger, parce que ça lui donnerait une raison de plus pour tout mettre sur votre dos. On appelle en un beau dimanche matin et comme personne n'est présent on laisse un message. Ensuite, on espère. On espère qu'il ne nous rappelle pas. On espère ne pas avoir à converser avec lui alors qu'il aura bu. On espère qu'il soit encore sobre. On en vient à espérer qu'il nous rappelle. On espère même qu'il ait changé, réellement. Et on réalise qu'on vit une nouvelle déception, parce qu'il ne pense même pas qu'il serait poli de rappeler pour remercier. C'est une roue qui tourne: espoirs, déceptions, espoirs...
Puis on se sent pathétique. Pathétique, d'être incapable de faire le deuil d'un père qui n'est pas décédé. Pathétique de réagir à chaque allusion qui nous responsabilise face à une relation père-enfant qui ne mène à rien. Pathétique, d'être incapable de s'asseoir avec son père pour lui verbaliser pour une Nième fois combien on se sent pathétique. Et enfin, on se sent pathétique lorsqu'on se dit que la vie aurait été plus facile, si, il y a 11 ans, il était mort dans cet accident...
vendredi 13 juin 2008
juste merci...
Le merci, c'est pour l'Homme qui m'accompagne qui m'a gentiment dit: "J'ai réalisé que ce n'était pas une bonne idée de te dire qu'il n'est pas tard quand tu dis que tu es fatiguée... parce que tu ne passeras jamais au travers de ta fatigue". Mais aussi pour être présent et aimant dans ces moments "déchirants". Et aussi pour la sagesse de rester tranquille cette fin de semaine, je pense que je vais en avoir de besoin...
dimanche 8 juin 2008
la dompteuse
Vous l'avez vu vous aussi, hen? L'été est arrivé hier! Chaleur, humidité, coup de soleil... aaahhh! le paradis! J'ai même osé la robe soleil! Faire la plein de soleil, parce que, au fond de moi, je me souviens que l'hiver fini toujours par revenir... Alors, suivez mon exemple et profitez de chaque rayon, de chaque molécule de chaleur...
dimanche 18 mai 2008
un-deux, test, one-two!
Je laisse ici un petit coup de klaxon pour l'Homme qui m'accompagne, il comprendra ce qu'il y a à comprendre... Pouet!
lundi 12 mai 2008
la clé du bonheur...
Je l'ai toujours dit et je le répète: la fatigue, ça ne me fait pas!
dimanche 11 mai 2008
être ailleurs...
mercredi 7 mai 2008
une crise de non-jalousie
mardi 6 mai 2008
à l'an prochain
mots d'enfant
"J'ai fait caca dans la toilette, tu veux venir à la maison pour voir mon caca?
- Ça va être difficile ma grande, Cendrillon est loin... Tu vas encore faire caca dans la toilette demain?
- Non, dans ma couche!"
"Cocotte, tu as mis tes bottes à l'envers!
- Non, j'ai mis les bottes à moi!"
"Tiens mon dessin!
- Ma grande, je ne le vois pas ton dessin au travers du téléphone. Tu peux me le décrire?
- Ben regarde, c'est ça!"
Ma Grande Soeur m'a aussi dit que cette semaine la petite voulait désespérément un coussin. Lorsque ma soeur lui a approché assemblage de tissus rembourré, la petite s'est fâchée. Finalement, ce qu'elle veut c'est un cousin! Alors, devinez à qui elle doit le demander? "Pour un cousin, cocotte, tu vas devoir demander à Matante Cendrillon!"
lundi 28 avril 2008
la Trifluvie reçoit de la grande visite!
mercredi 23 avril 2008
c'est l'été!
mercredi 9 avril 2008
attentiste: personne capable d'attendre que les événements surviennent avant d'agir, antonyme: cendrillon moderne
mardi 8 avril 2008
comme une partie de cache-cache avec le malheur
jeudi 3 avril 2008
y'a de ces journées...
Y'a de ces journées, comme aujourd'hui, où j'arrive à imaginer ce que ma voiture doit se dire...
dimanche 30 mars 2008
faire le tour du quadrilatère
jeudi 27 mars 2008
ah, le printemps!
On peut voir que la neige commence enfin à fondre, le premier indice, la couleur des bancs de neige, le deuxième indice, l'asphalte qui est mouillé...
Mon voisin commerçant a commencé dimanche matin à déneiger une terrasse... il a même fait une rampe d'accès pour handicapés... Mais non! Le commerce d'à côté fait comme tous les autres commerces de la province, il déneige son toît... C'est que quelques bâtisses se sont écroulées au cours du dernier mois sous le poids de la neige...
Que dire de la surprise de voir du monde sur le toît d'à côté? Disons simplement que ces travailleurs ont possiblement eu droit à un beau petit spectacle avant qu'ils aient été repérés... Une seule chose me console, s'ils avaient pu profiter d'un tel spectacle, ils en auraient surement tiré des leçons! Ce qui n'est visiblement pas le cas, car Coloc a surpris un homme qui soulageait sa vessie du haut de la bâtisse, sans réaliser que le bloc d'à côté est habité...
Avouons que le printemps est une saison remplie d'espoir... Espoir de revoir le gazon, les fleurs, les feuilles des arbres, espoir que la température soit propice aux acériculteurs [c'est si bon du sirop d'érable dans un café...], espoir que les nids-de-poule soient enfin colmatés, espoir que la neige va arrêter de tomber [en regardant par la fenêtre, je réalise que cet espoir est très présent, parce qu'il neige encore à plein ciel...], espoir de perdre encore quelques livres avant de porter robes soleil et jupes courtes, espoir que la chaleur revienne, espoir de boire un rosé sur une terrasse ensoleillée avec l'amie qui me vouvoie, espoir que l'Homme qui m'accompagne soit toujours à mes côtés... En somme, l'espoir que Dame Nature retrouve enfin ses esprits...
mardi 25 mars 2008
"la gravité me pèse", parole de YopLait...
lundi 24 mars 2008
même les pires frustrations finissent par passer....
Ce que j'ai répondu?
lundi 17 mars 2008
j'pense que ça doit être ça le bonheur...
mardi 11 mars 2008
tague: 6 révélations...
Le règlement :
- Écrire le lien de la personne qui nous a tagué
- Préciser le règlement sur son blog
- Mentionner six choses sans importance sur soi
- Taguer six autres personnes en mettant leur lien
- Prévenir ces personnes sur leur blog respectif
Voici mes 6 révélations :
1- En comptant toutes mes relations amoureuses, j'ai passé plus du 1/3 de ma vie en couple...
2- Il arrive que je lise 4 romans à la fois, sans jamais oublier où j'en suis dans chacun d'eux.
3- Je passe mes vendredis soir à jouer avec une piste de course miniature.
4- J'ai deux collections, servant toutes deux de prévention au burnout: une de disques et l'autre de sous-vêtements.
5- Contrairement à la moyenne des gens, j'aime l'odeur de mes mains après avoir coupé un oignon.
6- Je mêle les chiffres 4 et 7, ainsi que le 8 et le 9, je suis donc d'aucune utilité pour retenir un numéro de téléphone, pour faire un calcul rapide ou pour faire un bilan financier. Une fois ce fait connu, que dire des personnes qui m'ont engagée comme directrice d'une caisse étudiante!?!
Je vais taguer Mélamine [parce qu'elle n'est pas bonne joueuse et qu'elle refuse de répondre à la tague de Martin], Z@beille, La Belle, Douce et piscotar. [Je sais, ça ne fait que 5, mais l'autre personne que je voulais taguer c'est Monsieur l'Adulte et il a déjà été atteint...]
lundi 3 mars 2008
la souffrance humaine qui ne se soigne jamais...
Puis, se concentrer sur ce qui est gratifiant. Se concentrer sur le sourire et les yeux brillants d'un usager reconnaissant. Se concentrer sur la voix d'un collègue qui s'ennuie de vous. Se concentrer sur les autres sphères de vie qui vous hissent sur un nuage. Se concentrer sur l'espoir. Retrouver le sourire. Penser que ce soir, vous dormirez dans les bras de l'Homme qui vous accompagne. Penser à rien d'autre qu'au bonheur...
Et entendre le téléphone sonner. Au bout du fils, la souffrance humaine qui ne se soigne jamais, mais qui relativise vos propres blessures...
lundi 25 février 2008
mauvais timing...
Mais il faut dire, égoïstement, c'était la plus belle déclaration d'amour cachée entre les lignes que je n'avais jamais reçue... Que dire d'autre que merci?
lundi 18 février 2008
samedi 16 février 2008
croissant de soleil pour déjeuner
Et maintenant? Prendre une douche!
vendredi 15 février 2008
à ce point là?
Je suis fatiguée au point où:
- la radio me tape sur les nerfs;
- la lumière est trop intense;
- l'odeur du nouveau rideau de douche est de trop;
- je souris à l'idée que l'Homme qui m'accompagne ait choisi ce soir pour une nuit en solitaire;
- le bruit de mes doigts sur le clavier est énervant;
- j'ai juste envie de m'enfermer dans ma chambre, avec des bouchons dans les oreilles et un oreiller sur la tête;
- chercher sur le site nascar.com les pilotes participant au Daytona500 est une tâche insurmontable;
- j'ai même pas envie d'ouvrir un livre;
- mes yeux veulent fermer tout seul...
Il ne me reste qu'une chose à dire:
Bonne nuit!
jeudi 14 février 2008
valentin pour l'Homme qui m'accompagne
J'arrive difficilement à comprendre tout ce qui se passe depuis quelques mois. J'ai peu de repères. Cette histoire n'a pas commencé comme les autres. Elle ne prend pas le même chemin que les autres. Son aboutissement est imprévisible, mais plein d'espoir. J'apprécie la chance que j'aie d'avoir croisé ta route. Je savoure chaque seconde de bonheur qui découle de cette rencontre.
Tu sais, c'est la première fois que la peau de quelqu'un a, sur mon insécurité, un effet tranquillisant instantané. C'est la première fois que mes valeurs ne sont pas mises en jeu dans une joute fatale entre moi et celui qui partage mes jours. C'est la première fois que j'arrive à exhiber ma vulnérabilité sans avoir peur que ça devienne une arme pour l'autre. C'est la première fois que mes intérêts sont vraiment pris en compte. C'est la première fois que je ne ressens aucun malaise en prenant conscience que je fais partie de l'intimité d'une autre personne. C'est la première fois que j'arrive réellement à imaginer un avenir favorable, sans que le doute ne subsiste dans mon esprit. C'est la première fois que je n'ai pas envie de m'écrouler lorsqu'on me parle d'enfants. C'est la première fois que je me réveille souriante. C'est la première fois que la sexualité ne prend pas un aspect de tâche à accomplir pour avoir la paix. C'est la première fois que la position fœtale est reléguée à la deuxième position la plus confortable, immédiatement après celle où j'ai la tête sur ton cœur, blottie entre ton corps et ton bras. C'est la première fois que l'ennuie est un sentiment près de l'espoir. C'est la première fois que j'ai envie de voir l'évolution d'une relation, sans avoir une idée du moment de la chute, sans croire que chute il y aura. C'est la première fois que mon besoin de solitude n'est pas cause de chicanes. C'est la première fois qu'on m'amène si près de la perfection.
Merci pour ces premières fois. Merci pour le pas de recul que tu as pris pour sauter plus loin. Merci de ta présence et de ta confiance.
mercredi 13 février 2008
histoire de litchis
Ce matin, un panier de litchis m'attendait chez mon épicier. Je les ai regardés et j'ai décidé d'en acheter, encore une fois. Mais, cette fois-ci, je me souvenais! J'ai choisi d'en acheter moins d'une dizaines. Et maintenant, je vous écris en regardant les cinq derniers, me demandant franchement pourquoi j'en n'ai pas acheter plus! Cette fois-ci, il semble que j'y prends plaisir.
Ma mère disait que le goût se développe. C'est pour cette raison que j'essaie parfois de manger des aliments qui me rebutent. C'est comme ça que j'ai commencé à manger des olives. Comme ça aussi que je me retrouve parfois à choisir du poisson plutôt qu'une autre viande. Comme ça aussi que j'ai commencé a apprécier les fromages. Comme ça que, dernièrement, j'ai eu un goût intense de manger du chocolat noir...
Goûter, une fois de plus, en cas où ce serait la bonne. Le seul aliment que j'ai consciemment écarté de mon assiette, c'est la menthe. Je m'étais toujours dit que je n'aimais pas vraiment les friandises, gommes et pâtes à dents à saveur de menthe, mais que j'aimerais sans doute la vraie menthe fraîche. Erreur! Pour ceux, qui comme moi espère encore, sachez que la menthe fraîche goûte la pâte à dents!
lundi 11 février 2008
des nouvelles du travail?
Cette semaine, je suis en vacances. Je profite de ce temps pour me reposer... Au cours des dernières semaines, beaucoup d'émotions ont été à l'honneur. Les émotions, ça épuise! Besoin de me retrouver, de faire le point. Besoin aussi d'épuiser le pile de livres non-lus qui prend de l'ampleur sur ma table de travail. Besoin de chanter, de rêver! Une semaine complète, à moi, de moi, avec beaucoup d'amour! On n'est jamais mieux servi que par soi-même!
vendredi 8 février 2008
besoin de votre aide!
vendredi 1 février 2008
pis v'là février qui s'amène...
dimanche 27 janvier 2008
vendredi matin, on tourne une page
Vendredi matin, c'était ma dernière journée de travail au point de service dans lequel j'ai passé les deux dernières années. Deux ans de purs délices. Deux ans de complicité avec mes collègues. La peine du monde dans les yeux, ça prend beaucoup de place. Ça déborde dès que quelqu'un vous sourit. Ça fini même par bloquer les muscles du dos, tellement c'est pesant... J'ai quitté l'endroit la tête haute, 3 heures plus tard que prévu (il fallait bien terminer le travail entâmé). Et lorsque je suis partie, j'ai arrêté au dépanneur du village, saluer la propirétaire et prendre un billet de loterie de groupe. Si je gagne un gros-lot, je veux que ce soit avec les gens de ce village. Eux qui m'ont accueillie parmis les leurs. Une fois dans la voiture pendant le retour à la maison, je n'avais qu'une envie: déposer ma tête sur l'épaule de l'homme qui m'accompagne pour y verser les quelques larmes qui restaient encore dans mes yeux. Je réalise que sa présence m'appaise, me fait du bien.
lundi 21 janvier 2008
chocolat chaud et cie
dimanche 20 janvier 2008
moments de bonheur
Mes dernières journées au travail filent à une vitesse folle. Je savoure chaque minute avec mes collègues et avec les clients. J'aimerais tant être capable de dire à chacun de mes collègues la déception de devoir les quitter. Juste d'y penser, les larmes remontent à la surface. Alors, je ne dirai rien, de toute manière, ils savent...
La vie se charge de me changer les idées. L'homme qui m'accompagne est toujours et plus que jamais à mes côtés. Ses câlins, caresses, baisers et tendresses me comblent. J'essaie de lui dire combien sa présence me rend heureuse, mais je crois qu'aucun mot n'arrive à dire ce que je ressens. J'aime sa façon non-conventionnelle de me complimenter. J'aime le sourire qui se dessine sur ses lèvres à son réveil. J'aime la chaleur de ses bras. J'aime ces petites attentions qui arrivent à me faire répéter une vingtaine de fois de suite combien je l'apprécie. J'aime lorsqu'il glisse ses doigts sur mon cou, sur ma nuque. J'aime discuter et rire en sa compagnie. J'aime oublier que le temps passe, lorsque je vois briller ses yeux. J'aime me souvenir qu'il y a vraiment longtemps que je n'ai pas mis 1$, par amour, dans ma boîte à déception. J'aime...
Parlant du loup, l'homme qui m'accompagne arrive... je vous laisse donc à ces rêveries...
lundi 14 janvier 2008
coups de vieux
Je n'ai qu'une amie d'enfance. En tout cas, qu'une seule avec qui j'ai garder des liens. On était correspondante. Elle habitait à l'autre bout du monde. Je la voyais que durant les vacances, parce que sa famille était de la même ville que moi. Nous avons dû commencer à nous écrire alors que nous devions avoir 8 ou 9 ans. Lorsque je recevais une de ses missives, c'était le signale pour lui écrire à mon tour. Les lettres parlaient le plus souvent du dernier kick rencontré à l'école, à l'aréna, au centre d'achat. Les problèmes familiaux, l'amitié et l'école étaient aussi des sujets importants. Il n'y avait pas vraiment de filtre à notre discourt, aucun tabou, tout pouvait être dit à l'autre. Lorsqu'Internet a fait irruption dans notre vie, les lettres sont devenues moins fréquentes. Mais l'amitié qui est née sur le bord d'une piscine en banlieue de la Trifluvie est toujours restée. La semaine dernière, mon amie d'enfance m'a fait signe. Elle voulait que nous reprenions contact. Il y avait peut-être 5 ans que nous ne nous étions pas revues. Comme, finalement, elle demeure à une heure de route de chez moi (c'est fou ce que le bout du monde est plus près que ce nous percevons dans notre enfance) bien, elle est venue faire son tour en Trifluvie. Les souvenirs ont été à l'honneur: la piscine de feuilles mortes, le geyser de sauce à spag, les longues marches sur la gran'route. Et voilà qu'elle m'avoue qu'elle n'est pas venue me rencontrer pour rien, elle avait une mission. Elle se marie en février 2009 et veut que je sois sa demoiselle d'honneur. Vous réalisez? Moi, ce que ça me fait réaliser, c'est qu'on est pas juste plus matures, on est aussi plus vieille!
[Pour E. : Je suis vraiment heureuse que notre lien soit toujours aussi fort, heureuse aussi d'accepter ton invitation et que ton amour, que nous célébrerons dans la prochaine année, grandisse quotidiennement en complicité et en confiance!]
Aujourd'hui, deuxième coup de vieux. J'ai croisé dans un magasin à grande surface un gars que j'ai côtoyé au secondaire. Dans le temps, il était joueur de football. Pendant les heures de repas, je ne comptais plus les fois où il me levait jusqu'au plafond parce que j'avais jeté un restant de repas sans le lui avoir offert. Aujourd'hui, lorsque je l'ai aperçu, il avait encore une fois les bras au ciel, comme dans le temps. Mais, une fillette de 3 ans avait pris ma place dans ses bras. Je lui ai souris, triste constat: le temps passe vite.
Deux coups de vieux en deux jours, c'est un peu trop intense!
jeudi 10 janvier 2008
cruauté vitale
C'est cruel de prendre conscience de l'importance de mon travail, en le perdant.
C'est cruel de devoir se lever pour aller travailler et laisser dans mon lit l'homme qui m'accompagne.
C'est cruel de briser le code d'éthique parce que la pince qui tient ma carte d'employé est brisée.
C'est cruel d'affronter, en plus du stress élevé, une migraine qui se pointe inévitablement lorsque le stress est élevé.
C'est cruel de me faire dire par mon patron qu'il voulait sincèrement me garder dans son équipe, mais que les règles syndicales ne le permettent plus.
C'est cruel de faire rire de moi par une bonne amie parce que je ne connais même pas le numéro de téléphone de l'homme qui m'accompagne.
C'est cruel de savoir au fond de moi que le redoux climatique des derniers jours va sans doûte laisser place à une température de -30°C avec une impression de -45°C une fois le facteur vent pris en compte.
C'est cruel d'entendre la même histoire de voyage plus de trois fois de suite.
C'est cruel de se faire dire par un néophyte qu'on traverse à merveille les étapes du deuil, alors que je les explique au moins une fois par semaine à des personnes qui vivent une épreuve.
C'est cruel de devoir faire des choix alors que je ne connais pas toutes les variables possibles.
La vie est vraiment cruelle!
lundi 7 janvier 2008
BP disait: "Regardez toujours le côté enseleillé des choses plutôt que leur côté sombre..." quelqu'un pourrait rallumer la lumière alors?
Mais cette chance a tourné. Certaines personnes de mon entourage ont tenté de me faire voir le bon côté des choses: c'est le moment de relever de nouveaux défis. Mais qu'est-ce qui arrive lorsque les défis que nous avions nous convenaient déjà? L'attrait de la nouveauté n'a pas l'effet tant escompté sur moi. Dire que d'autres endurent tant bien que mal leur emploi en attendant je ne sais quoi pour bouger vers un monde meilleur. Dire que moi, le changement de carrière, je l'ai effectué il y a 5 ans et qu'enfin, depuis la fin de mes études, j'avais un emploi qui me convenait parfaitement. Comment arrive-t-on à voir du positif dans le fait de perdre l'emploi qu'on aimait, de diminuer le nombre d'heures de travail tout en augmentant le nombre de journées où je devrai me rendre au travail, de changer de milieu de travail, de collègues, de clientèle...
Voir le côté positif... c'est bien beau comme théorie, mais peut-être pas pour aujourd'hui, d'accord?
vendredi 4 janvier 2008
comment gagner le respect d'une collègue
- la première qui rencontre un homme, digne de ce nom, apporte à l'autre un de ses souliers;
- la relation devra être assez stable pour que l'homme accepte par lui-même de prêter sa chaussure;
- les vols, emprunts sans autorisations ne sont pas permis;
- l'enjeu: le respect de l'autre pour le reste de nos jours!
mardi 1 janvier 2008
les meilleures rencontres sont celles qu'on redoute
J'ai eu droit aux plaintes de la pas-de-blonde qui trouve qu'on ne donne pas nos listes de cadeaux assez tôt à son goût. Pauvre elle, elle a tout magasiner tout seule! Puis, aussi, j'ai eu droit au coin brûlé de la lasagne. En matière de lasagne, je ne suis vraiment pas difficile (c'est mon mets préféré) mais disons que celle-là, ben c'était ma moins bonne à vie!
Un collègue me dit souvent que les meilleurs rencontres sont celles qu'on redoutent, parce qu'on ne peut qu'être agréablement surpris. Bien ce soir, je peux dire que cette théorie est complètement bidon!
P.S.: le congé est déja terminé, je travaille dès demain matin...