Les Canadiens jouaient leur première partie ce soir (Victoire 3-2, en prolongation). Vous lisez bien, je suis une fille et j'écoute avec intérêt le hockey. Avec mon horaire changeant, il m'est difficile de suivre un téléroman assidument. Quoique pour arriver à suivre l'histoire de Virgine, guerre besoin d'être assidue. Je dois avouer avoir déjà été une accro finie des téléromans. Le temps me manquant, j'ai dû vivre un sevrage. Le hockey a remplacé tous ces téléromans. Manquer une soirée n'a pas d'impacts (sauf pour les superstitieux qui croient que l'équipe a perdu parce qu'ils n'étaient pas devant leur écran). Les parties provoquent une kyrielle d'émotions (joie, colère, frustration, déception, sourire, stress, ivresse, tout y passe), c'est souvent plus que ce qu'une émission conventionnelle peut offrir! Ce sport arrive à rendre l'hiver un peu moins amer. Je ne suis pas une fille d'hiver, mais je suis une fille de hockey.
D'ailleurs j'ai fait une grande découverte que je partage ce soir avec les veuves du hockey: les hommes aiment le hockey que pour l'indépendance que ça leur apporte. Hé oui! Sachez que les gars que j'ai connus se sont tous désintéressés progressivement de leur passion hockéale... Plus ils réalisent que j'aime, comprend et apprécie l'écoute de ce sport, moins ils aiment, comprennent et apprécient! Réellement, c'est à rien y comprendre!
Cette année, je pousse l'audace, je me suis inscrite au pool de la Cage aux sports. On ne sait jamais, avec le temps, j'ai réalisé que je connais mieux ça que plusieurs gérants d'estrades!
mercredi 3 octobre 2007
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