
Samedi soir: pas de nouvelles.
Dimanche: pas de nouvelles.
Lundi fin de soirée: il apparaît enfin, pour me dire qu'il va avoir besoin d'une deuxième rencontre pour se faire une tête. Longue discussion se terminant sur la tenue de nuit et la technique pour se défaire de l'image qu'il a en tête...
Mardi fin de soirée: tous les sujets sont permis! On ouvre sur l'image et le geste posé pour s'en défaire. Il en redemande. J'ai vécu, croyez-le ou non, ma première séance de cyber-sexualité à vie. Ce fût désarmant.
Mercredi: les pensées imaginées la veille ainsi qu'une vague de chaleur m'envahit à chaque minute. Je n'ai que lui en tête, malgré le travail habituellement envahissant. J'arrive à la maison, fière de ce que mon cerveau a pondu en chemin, je fais ni une ni deux et lui envoie ce message: "Si tes oreilles ont sillé toutes les fois où j'ai eu une pensée pour toi aujourd'hui, tu as dû te croire acouphène... ;-) "
Depuis, pas de nouvelles...