Que dire à l'Homme qui m'accompagne qui m'avoue doucement que son hésitation à quitter son petit 1 et demi est liée à moi? Pas envie de rester dans ce petit appartement qu'il avait pris pour être conservateur, il y a 3 ans. Mais pas envie non plus de déménager deux fois en deux ans: une pour vivre dans plus grand, une autre pour vivre avec celle qu'il accompagne. Et puis, beau être positif, mais nous ne sommes pas prêt à vivre ensemble maintenant. J'aimerais parfois avoir un vrai don, lire l'avenir, histoire de prendre des décisions "éclairée"...
Mais il faut dire, égoïstement, c'était la plus belle déclaration d'amour cachée entre les lignes que je n'avais jamais reçue... Que dire d'autre que merci?
lundi 25 février 2008
lundi 18 février 2008
samedi 16 février 2008
croissant de soleil pour déjeuner
Se réveiller avec une envie de manger des croissants... Envie au point d'enfiler ses vêtements sans prendre de douche... Mettre un chapeau pour cacher ses cheveux gras et se rendre à l'épicerie du coin. Acheter des croissants à faire cuire. Revenir les mettre au four. Enlever ses vêtements et enfiler un pyjama. Sortir le Nutella et préparer du café Chocolat et framboises. Attendre, attendre, attendre... Réaliser qu'on n'a pas tout à fait allumé l'élément. Allumer le four et attendre, attendre, attendre encore un peu. Puis, se délecter! Miam!
Et maintenant? Prendre une douche!
Et maintenant? Prendre une douche!
vendredi 15 février 2008
à ce point là?
Alors, voilà! Il fallait bien que ça arrive un jour! Bien, ça y est!
Je suis fatiguée au point où:
Il ne me reste qu'une chose à dire:
Bonne nuit!
Je suis fatiguée au point où:
- la radio me tape sur les nerfs;
- la lumière est trop intense;
- l'odeur du nouveau rideau de douche est de trop;
- je souris à l'idée que l'Homme qui m'accompagne ait choisi ce soir pour une nuit en solitaire;
- le bruit de mes doigts sur le clavier est énervant;
- j'ai juste envie de m'enfermer dans ma chambre, avec des bouchons dans les oreilles et un oreiller sur la tête;
- chercher sur le site nascar.com les pilotes participant au Daytona500 est une tâche insurmontable;
- j'ai même pas envie d'ouvrir un livre;
- mes yeux veulent fermer tout seul...
Il ne me reste qu'une chose à dire:
Bonne nuit!
jeudi 14 février 2008
valentin pour l'Homme qui m'accompagne
Cher Homme,
J'arrive difficilement à comprendre tout ce qui se passe depuis quelques mois. J'ai peu de repères. Cette histoire n'a pas commencé comme les autres. Elle ne prend pas le même chemin que les autres. Son aboutissement est imprévisible, mais plein d'espoir. J'apprécie la chance que j'aie d'avoir croisé ta route. Je savoure chaque seconde de bonheur qui découle de cette rencontre.
Tu sais, c'est la première fois que la peau de quelqu'un a, sur mon insécurité, un effet tranquillisant instantané. C'est la première fois que mes valeurs ne sont pas mises en jeu dans une joute fatale entre moi et celui qui partage mes jours. C'est la première fois que j'arrive à exhiber ma vulnérabilité sans avoir peur que ça devienne une arme pour l'autre. C'est la première fois que mes intérêts sont vraiment pris en compte. C'est la première fois que je ne ressens aucun malaise en prenant conscience que je fais partie de l'intimité d'une autre personne. C'est la première fois que j'arrive réellement à imaginer un avenir favorable, sans que le doute ne subsiste dans mon esprit. C'est la première fois que je n'ai pas envie de m'écrouler lorsqu'on me parle d'enfants. C'est la première fois que je me réveille souriante. C'est la première fois que la sexualité ne prend pas un aspect de tâche à accomplir pour avoir la paix. C'est la première fois que la position fœtale est reléguée à la deuxième position la plus confortable, immédiatement après celle où j'ai la tête sur ton cœur, blottie entre ton corps et ton bras. C'est la première fois que l'ennuie est un sentiment près de l'espoir. C'est la première fois que j'ai envie de voir l'évolution d'une relation, sans avoir une idée du moment de la chute, sans croire que chute il y aura. C'est la première fois que mon besoin de solitude n'est pas cause de chicanes. C'est la première fois qu'on m'amène si près de la perfection.
Merci pour ces premières fois. Merci pour le pas de recul que tu as pris pour sauter plus loin. Merci de ta présence et de ta confiance.
J'arrive difficilement à comprendre tout ce qui se passe depuis quelques mois. J'ai peu de repères. Cette histoire n'a pas commencé comme les autres. Elle ne prend pas le même chemin que les autres. Son aboutissement est imprévisible, mais plein d'espoir. J'apprécie la chance que j'aie d'avoir croisé ta route. Je savoure chaque seconde de bonheur qui découle de cette rencontre.
Tu sais, c'est la première fois que la peau de quelqu'un a, sur mon insécurité, un effet tranquillisant instantané. C'est la première fois que mes valeurs ne sont pas mises en jeu dans une joute fatale entre moi et celui qui partage mes jours. C'est la première fois que j'arrive à exhiber ma vulnérabilité sans avoir peur que ça devienne une arme pour l'autre. C'est la première fois que mes intérêts sont vraiment pris en compte. C'est la première fois que je ne ressens aucun malaise en prenant conscience que je fais partie de l'intimité d'une autre personne. C'est la première fois que j'arrive réellement à imaginer un avenir favorable, sans que le doute ne subsiste dans mon esprit. C'est la première fois que je n'ai pas envie de m'écrouler lorsqu'on me parle d'enfants. C'est la première fois que je me réveille souriante. C'est la première fois que la sexualité ne prend pas un aspect de tâche à accomplir pour avoir la paix. C'est la première fois que la position fœtale est reléguée à la deuxième position la plus confortable, immédiatement après celle où j'ai la tête sur ton cœur, blottie entre ton corps et ton bras. C'est la première fois que l'ennuie est un sentiment près de l'espoir. C'est la première fois que j'ai envie de voir l'évolution d'une relation, sans avoir une idée du moment de la chute, sans croire que chute il y aura. C'est la première fois que mon besoin de solitude n'est pas cause de chicanes. C'est la première fois qu'on m'amène si près de la perfection.
Merci pour ces premières fois. Merci pour le pas de recul que tu as pris pour sauter plus loin. Merci de ta présence et de ta confiance.
Je t'aime
mercredi 13 février 2008
histoire de litchis
J'ai jamais vraiment aimé les litchis. Leur goût me rappelle le parfum. J'apprécie plus ou moins avoir l'impression de prendre un gorgée de parfum... Mais, allez savoir pourquoi, chaque fois que je vois ces petits fruits, j'ai envie d'en acheter. Mon dernier essais remonte à plus d'un an. J'avais acheté un sac remplis de litchis, me convainquant que cette fois, j'allais aimer. Erreur! C'est finalement Pascal qui s'est délecté de mon achat, sous mon regard interrogatif.
Ce matin, un panier de litchis m'attendait chez mon épicier. Je les ai regardés et j'ai décidé d'en acheter, encore une fois. Mais, cette fois-ci, je me souvenais! J'ai choisi d'en acheter moins d'une dizaines. Et maintenant, je vous écris en regardant les cinq derniers, me demandant franchement pourquoi j'en n'ai pas acheter plus! Cette fois-ci, il semble que j'y prends plaisir.
Ma mère disait que le goût se développe. C'est pour cette raison que j'essaie parfois de manger des aliments qui me rebutent. C'est comme ça que j'ai commencé à manger des olives. Comme ça aussi que je me retrouve parfois à choisir du poisson plutôt qu'une autre viande. Comme ça aussi que j'ai commencé a apprécier les fromages. Comme ça que, dernièrement, j'ai eu un goût intense de manger du chocolat noir...
Goûter, une fois de plus, en cas où ce serait la bonne. Le seul aliment que j'ai consciemment écarté de mon assiette, c'est la menthe. Je m'étais toujours dit que je n'aimais pas vraiment les friandises, gommes et pâtes à dents à saveur de menthe, mais que j'aimerais sans doute la vraie menthe fraîche. Erreur! Pour ceux, qui comme moi espère encore, sachez que la menthe fraîche goûte la pâte à dents!
Ce matin, un panier de litchis m'attendait chez mon épicier. Je les ai regardés et j'ai décidé d'en acheter, encore une fois. Mais, cette fois-ci, je me souvenais! J'ai choisi d'en acheter moins d'une dizaines. Et maintenant, je vous écris en regardant les cinq derniers, me demandant franchement pourquoi j'en n'ai pas acheter plus! Cette fois-ci, il semble que j'y prends plaisir.
Ma mère disait que le goût se développe. C'est pour cette raison que j'essaie parfois de manger des aliments qui me rebutent. C'est comme ça que j'ai commencé à manger des olives. Comme ça aussi que je me retrouve parfois à choisir du poisson plutôt qu'une autre viande. Comme ça aussi que j'ai commencé a apprécier les fromages. Comme ça que, dernièrement, j'ai eu un goût intense de manger du chocolat noir...
Goûter, une fois de plus, en cas où ce serait la bonne. Le seul aliment que j'ai consciemment écarté de mon assiette, c'est la menthe. Je m'étais toujours dit que je n'aimais pas vraiment les friandises, gommes et pâtes à dents à saveur de menthe, mais que j'aimerais sans doute la vraie menthe fraîche. Erreur! Pour ceux, qui comme moi espère encore, sachez que la menthe fraîche goûte la pâte à dents!
lundi 11 février 2008
des nouvelles du travail?
C'est l'instabilité totale! J'apprends mes horaires à quelques jours de délai. Je fais des remplacements à gauche et à droite. Mes nouveaux collègues me parlent que très peu. Mais, heureusement, le travail qu'on me confie ressemble à celui que je faisais. Je ne suis pas perdue, je me débrouille bien. J'ai besoin de quelques minutes pour retrouver les formulaires, les dépliants, les programmes informatiques, mais j'y arrive!
Cette semaine, je suis en vacances. Je profite de ce temps pour me reposer... Au cours des dernières semaines, beaucoup d'émotions ont été à l'honneur. Les émotions, ça épuise! Besoin de me retrouver, de faire le point. Besoin aussi d'épuiser le pile de livres non-lus qui prend de l'ampleur sur ma table de travail. Besoin de chanter, de rêver! Une semaine complète, à moi, de moi, avec beaucoup d'amour! On n'est jamais mieux servi que par soi-même!
Cette semaine, je suis en vacances. Je profite de ce temps pour me reposer... Au cours des dernières semaines, beaucoup d'émotions ont été à l'honneur. Les émotions, ça épuise! Besoin de me retrouver, de faire le point. Besoin aussi d'épuiser le pile de livres non-lus qui prend de l'ampleur sur ma table de travail. Besoin de chanter, de rêver! Une semaine complète, à moi, de moi, avec beaucoup d'amour! On n'est jamais mieux servi que par soi-même!
vendredi 8 février 2008
besoin de votre aide!
Je ne vous ai pas oublié! Mais le temps me manque et l'inspiration aussi! Vous avez des idées? Comme j'entame ma semaine de vacances ce soir, j'aurai du temps!
vendredi 1 février 2008
pis v'là février qui s'amène...
Février est, dans ma famille, un mois très demandant... C'est le mois des anniversaires: Papa moderne le 10, grande sœur le 21, Maman Bastringue le 22. Puis il y a la St-Valentin, fête habituellement déchirante, parce que célébrer l'Amour alors qu'on est seule, c'est triste. Cette année, cependant, avec l'Homme qui m'accompagne, on prévoit une petite soirée tranquille: cuillère et boîte-à-image. Mais, cette année, le stress entourant la précarité de mon travail et de ma situation financière compense amplement l'accalmie de la St-Valentin. Puis, dans mon cas, c'est en février que le manque de soleil se fait sentir: dépression saisonnnière. Mais, en octobre, j'ai prévu le coup! J'ai réservé une semaine de vacances pour février. Une semaine que j'ai agrémentée de spectacles (Tricot Machine, Urbain des bois et Daniel Bélanger). Espérons que cette stratégie amoindrira l'effet qu'a sur moi février. Parce que dans le fond, j'ai peur. Peur que ma déprime annuelle change l'Homme qui m'accompagne en l'Homme qui fuit.
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