Au travail, la musique de Noël joue pendant tout le quart. On joue à nouveau genre de chaise musicale: dès que le disque prend fin, on est une demi-douzaine à se précipiter dans le local où est le radio pour choisir le prochain disque. La souffrance humaine est moins grande, les clients appellent même pour reporter leurs rendez-vous après les Fêtes. On prépare la nouvelle année, fait un bilan de la dernière. Une année remplie, sans temps mort. Le remplacement finira en mars. Rien de prévu jusqu'à la fin avril. Le boss dit sa satisfaction et sa volonté de nous avoir à sa charge l'an prochain, mais son budget ne permet aucune dépense supplémentaire. Une stagiaire de janvier à la fin du remplacement, ou jusqu'en avril si je travaille temps plein. Des nouveaux postes à combler, un service entier devrait voir le jour en 2009. La boule de cristal n'arrive qu'à prévoir une chose : de l'instabilité. L'anxiété monte peu à peu.
À la maison, les cadeaux de Noël trônent sous l'arbre. L'arbre qui, faute de pied adéquat, se retrouve en position traditionnelle. La crèche est dans son plus simple appareil : le poupon arrivera que dans la nuit du 24 au 25, les rois le 6 janvier... La maison est emplie de parfums d'épices, preuve que d'être deux est motivant pour la création de petits plats. La pièce supplémentaire, toujours sans meubles, prend des allures de mini-curie. L'Homme qui m'accompagne, déjà en congé des Fêtes, profite de ses congés en célibataire pour décaler ses heures de sommeil. Finalement, je n'aurai pas enfilé de palmes cette année, mais je compte bien troquer les palmes pour des raquettes entre Noël et le Jour de l'an.
À tous, je vous souhaite un joyeux temps des Fêtes...
PS: Coloc, quand est-ce que tu passes à la maison pour recevoir ton cadeau?
mardi 23 décembre 2008
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1 commentaire:
C'est quand tu veux! :-)
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