samedi 29 décembre 2007

compte rendu des 25 premières heures

  • 30 minutes de transport entre mon travail et ma ville.
  • 2 heures de dédramatisation et de câlins dans les bras de l'homme qui m'accompagne.
  • 3 heures 30 au restaurant grec pour un souper de Noël de la gang de l'homme qui m'accompagne. On a droit à la question fatidique: "Depuis quand vous êtes ensemble?" C'est finalement un des amis de l'homme qui m'accompagne qui a tranché, "surement en novembre?!?" Le principal sujet de conversation: qu'est-ce qu'on va faire après?
  • 1 heure 30 de billard, ça faisait vraiment longtemps que je n'avais pas joué, finalement je suis meilleure pour regarder! Ah oui, aussi, quelqu'un connait un truc pour avoir l'air élégante perchée sur un banc? J'ai beau essayer, l'élégance n'est pas de la partie!
  • 2 heures 30 de quilles, la boule dénonce mes idéaux politiques... Elle quitte ma main, se dirige en plein centre et finit toujours par effectuer un incontrôlable virage à gauche! Preuve que je suis de centre-gauche!
  • 11 heures de sommeil dans les bras de l'homme qui m'accompagne (enfin, de sommeil et de câlins)
  • 2 heures déjeuner / dîner / potins / transport au resto graisseux avec Coloc
  • 30 minutes de discussion / tirage de carte avec M., l'ami de Coloc
  • 1 heure de fouilles archéologiques : je dois retrouver ma table de cuisine, mon salon et mon lit pour ce soir!
  • 30 minutes de lavage!
Le compte y est: 25 heures de congé déjà écoulées!

jeudi 27 décembre 2007

tic-tac-tic-tac-tic-tac-toc?

Demain, même heure, je vais être en congé! 4 jours et des poussières de congé! 112 heures pour être précise. 112 heures! Mais qu'est-ce que je vais faire de tout ce temps? Quelqu'un a une idée?
Tic-tac-tic-tac!

lundi 24 décembre 2007

meilleurs voeux!

À vous tous, je souhaite un joyeux temps des Fêtes! Je vous souhaite la santé (autant mentale que physique), le bonheur et l'Amour. J'espère que cette année sera remplie de sourires, de caresse et de joies, autant que vous serez capable d'en prendre!
À ma famille, je souhaite un beau bébé neuf en santé et la sérénité. Spécialement pour mon père, je souhaite la "dureté du mental".
À ma coloc, je souhaite bonheur et prospérité. Je te souhaite aussi un homme à ton gôut, avec juste assez de jasette, un charmant sourire, un grand bain et muni d'une multitude de cuillères.
À moi-même, je souhaite que le bonheur qui m'accompagne présentement ne me laisse pas tomber. Je me souhaite aussi un poste, histoire d'ajouter une certaine stabilité à mon gagne-pain. Et pour couronner le tout, des relations interpersonnelles harmonieuses. En somme, j'espère un beau gros gâteau aux carottes, moelleux, rempli de morceaux de noix, sans écailles, juste assez épicé et sucré avec un parfait glaçage à base de fromage phili... miammmm!

dimanche 23 décembre 2007

bou-boum...

[Ce texte est écrit depuis le 26 octobre dernier, il attendait patiement le bon moment pour se dévoiler... Évidement, il est dédié, depuis tout ce temps, à l'homme qui m'accompagne aujourd'hui]

Écoute bien! Tu peux l’entendre? C’est mon cœur qui bat. Il bat d’espoir, de crainte, de bonheur, d’inquiétude, de bien-être, de souffrance, de joie, de peine, d’amour, de haine, de tendresse, de brutalité, de patience, d’avidité, de désir, de retenue, de plénitude, de manque, de satisfaction, de regret, d’envie, d’indifférence, d’acceptation, de rejet, d’extraversion, d’introversion, de mouvement, de stagnation, de projection, de nostalgie, de besoin, de contentement, de liberté, de dépendance, d’introspection, de verbalisation, de sérénité, d’anxiété, de confiance, d’appréhension, d’utopisme, de pragmatisme, d’apaisement, de trouble, d’équilibre, d’instabilité, de quiétude, d’insécurité, d’expérience, d’incompétence, de simplicité, de prétention… Tu entends? Bou-boum, bou-boum, bou-boum … Il bat, il bat dans tous les sens, il s’affole, il bat pour toi… Tu l’entends?

jeudi 20 décembre 2007

la lumière au bout du tunnel

La période des fêtes est une période de travail acharné... je suis une des dernières rentrées et je fais un peu plus de 5 jours par semaines. Alors, lorsque tous les autres prennent des vacances pour les Fêtes, moi je me tape tous les points des services et tous les horaires possibles... J'ai droit à une journée de congé, le 26 [parce que sans ça, on aurait dû payer du temps supplémentaire et ça, bien, on évite à tout prix...]. Durant la journée d'hier, ma lumière au bout du tunnel était cette journée de congé qui s'approche d'heure en heure. Puis, en soirée, la Pas-de-blonde de mon père a appelé. Le centre de désintox nous invite à visiter Papa Moderne. C'est pleine de négativisme que j'accepte l'invitation.

1- je vais devoir faire près de 3 heures de route pour m'y rendre et 3 heures de route pour en revenir;
2- je vais devoir amener la Pas-de-blonde de mon père parce que mme n'a ni voiture, ni permis;
3- je vais devoir me farcir sa conversation pendant tout ce temps (les 10 minutes passées au téléphone avec elle m'ont déjà semblé si loooooooooooooooongues...[quelqu'un a du DuckTape en stock? ça se colle bien sur une bouche, me semble!]);
4- j'ai pas envie de voir Papa Moderne quand il est à moins de 20 minutes de chez moi, alors quand il est si loin, l'envie est totalement inexistante;
5- j'ai pas envie d'entendre qu'il vient de comprendre le mal qu'il a pu faire pendant toutes ces années d'ivresse;
6- j'ai peur de ce qu'il va avoir réalisé pendant ces quelques jours de sobriété et mais encore plus peur de ce qu'il ne réalisera jamais;
7- j'ai tu vraiment envie de recevoir un petit cours sur "comment être le principal allié du nouveau sobre"?
8- je suis de mauvaise foi, littéralement!

Pourquoi je m'y rends? Parce que si Papa Moderne rechûte après que je ne sois pas allée le voir en thérapie, il va jouer de culpabilité pour me faire sentir cheap de ne pas y être aller...
[Nanie, tu te demandais où j'avais appris à culpabiliser mon entourage avec tant d'adresse? Ben, c'est en regardant Papa Moderne à l'oeuvre... ]

Finalement, je ne rêve plus au 26. La lumière au bout du tunnel n'était qu'un train! Croisons les doigts et pensons au 29, prochaine journée de réel congé!

lundi 17 décembre 2007

les dernières nouvelles de l'homme qui rôde

L'homme qui rôde a cessé de rôder. En effet, il a cessé d'errer dans mon entourage pour s'y arrêter, pour apprécier ce que j'ai à lui offrir. L'homme qui rôde fait officiellement partie de ma vie. L'homme qui rôde devient sous ma plume l'homme qui m'accompagne. Quel bonheur de partager des moments, des émotions, un chemin avec lui! Qui sait où cette route nous conduira?!? Pas à pas, je savoure simplement de chaque seconde de cette route où tout est possible...

dimanche 16 décembre 2007

biscuit chinois

J'ai parlé lors de mon dernier billet du repas à la cafétéria asiatique... Mais j'avais oublié de vous partager ma joie de découvrir dans mon biscuit chinois ce petit papier:


Peut-être que je vais enfin avoir le poste tant convoité? Croisons les doigts ensemble!

samedi 15 décembre 2007

en retard, mais publié!

Jeudi soir, soirée de filles au centreville.
Premier arrêt: la cafétéria asiatique. Premier repas de ma vie mangé entièrement à l'aide de baguettes! c'est meilleur pour la ligne, parce que quand tu n'as plus vraiment faim, finir ton assiette est une tâche insurmontable...
Deuxième arrêt: le spectacle de 3 gars su'l sofa. J'adore lorsque la musique fait naître des sourires et on peut dire que les 3 gars réussissent ça à merveille! Avant le show, j'ai payé ma dette à Coloc, qui avait acheté les billets. Je me suis alors faite attaquer par le billet de 20$. Il a sauté sur ma jointure et y a fait jaillir le sang... Je ne pensais jamais m'infliger une coupure avec de l'argent... On aura tout vu. Durant le spectacle, je me suis tout d'un coup sentie vraiment vieille... Deux jeunes adultes, peut-être pas tout à fait majeure encore, parlait, pour ne pas dire criait, entre et pendant les chansons. On se serait cru dans un bar. Le pire c'est qu'elles avaient l'air d'apprécier le show, mais ne semblaient pas réaliser qu'elles n'étaient pas seules devant leur télé... J'ai franchement pensé à les assommer, voire à les tuer, mais j'ai finalement tapé sur l'épaule de la frisée pour lui demander si je les dérangeais lorsque j'essayais d'écouter. Elles se sont un peu calmées, à la limite du tolérable... peut-être que je suis devenue une vieille grincheuse? À la sortie, j'ai croisé un vieil ami. Il m'explique tout bonnement qu'il ne va pas très bien, qu'il a été arrêté durant la journée et qu'il a donc donné son dernier cours avant 2008. J'ai finalement compris qu'on ne parlait pas ici d'arrestation, mais bien d'arrêt de travail. Ce cher M. c'était quelque peu prévisible... quand tu es prof et que le seul temps de l'année où tu arrives à avoir une vie c'est l'été, parce que durant l'année scolaire, tu entres à l'école à 8h et que tu en ressors jamais avant 21h... Contente quand même de l'avoir revu.
Puis, dernier arrêt: la maison, mais tout juste avant, le trajet de retour. À pied dans les rues du centreville avec Coloc, ça peut devenir dangereux. Bien, c'est que selon la théorie d'un ami, écrapoutir des grandes femmes sveltes avec des gros seins, ça donne encore plus des points que des personnes âgées avec des cannes. Et comme Coloc cadre amplement avec la première description, on a failli se faire écrapou! Et on a tellement ri de mon lapsus qu'on a frôlé mourir de rire...
Belle soirée, j'en ai mal aux joues!

mardi 11 décembre 2007

quand percer la brume est une deuxième nature

La brume m'éclaire... J'aime la sensation d'être dans un nuage. La sensation que tout le monde voit que je suis dans ma tête. La sensation que seul le soleil peut me sortir de ma réflexion. Quand cette brume s'accompagne d'un temps glacial et laisse sa trace sur les branches des arbres et sur l'herbe, je jubile. Bien, vous me connaissez tout de même, je jubile si je n'ai pas à sortir...

dimanche 9 décembre 2007

plainte contre Dame Nature

Chère Dame Nature,
C'est avec regret que je me dois de vous écrire ce billet. J'ai fait une rapide vérification du règlement et je peux présentement confirmer que vous êtes en infraction. Je réalise aussi qu'il y a déjà quelques mois, vous avez brisé les règles du raisonnable. J'imagine que vous testez les limites? Bien, sachez que je vous ai vue et que je vais porter plainte à votre supérieur immédiat, Thor. Le règlement enfreint? Celui des saisons! L'hiver s'étend du 21 décembre au 21 mars! Alors, comment pouvez-vous expliquer la neige d'avril dernier et celle qui nous tombe dessus depuis quelques semaines? Un peu d'ordre, s'il vous plait! Les règles existent pour être respectées! Quand l'hiver sera des nôtres, au moins on aura une bonne raison de chialer contre lui! D'ici-là, remballez-moi toute cette neige!
Cendrillon Moderne,
qui rêve déjà au vert tendre des bourgeons nouvellement éclos.

vendredi 7 décembre 2007

incapacité temporaire

Le syndrome de la page blanche me hante.
J'ai envie de vous parler de l'homme qui rôde, qui rôde toujours. Je ne trouve pas les mots. J'aimerais partager avec vous le fait qu'il a quitté mon lit depuis moins de 4 heures et que s'il faisait signe maintenant pour me dire que finalement, il a pris congé et qu'il veut partager quelques heures supplémentaires en ma compagnie, je laisserais ce texte en plan pour aller le rejoindre, où qu'il serait. Vous parler de son sourire, de sa main dans mon dos, de sa peau, de chacune des parties de son corps, à vrai dire, qui sont projetées sur l'écran de mes souvenirs. Vous demander si la nostalgie ça doit impliquer un souvenir lointain? Vous expliquer que je me sens nostalgique d'un souvenir vieux d'un peu moins de 4 heures... Vous dire que j'ai peur, peur de trop bien comprendre ce qui se passe dans sa tête. Peur, parce qu'hier, à distance, sans l'intonation de sa voix, j'avais détecté la tension dans son être, alors que lui en a pris conscience qu'en arrivant dans mon monde. Peur parce que, tout le temps qui s'est écoulé entre le moment où j'ai détecté cette tension et le moment où il est arrivé chez moi, j'ai scénarisé les pires histoires de déception à 1$. Vous dire que chaque mouvement de l'homme qui rôde ralentissant la course de notre relation me terrorise.
J'ai aussi envie de vous donner des nouvelles de Papa Moderne, qui entre en désintox ce dimanche. Vous dire que j'y crois plus ou moins. Vous expliquer la culpabilité que je ressens chaque fois que mon esprit en arrive à la conclusion que pendant le temps où il va être là-bas, je pourrai écouter les nouvelles sans craindre que le chauffard récidiviste d'alcool au volant qui a frappé une fillette au coin d'une rue, se soit lui. Vous confier que depuis une quinzaine d'années, j'attendais avec impatience le moment où il s'avouerait alcoolique et que maintenant que c'est fait, bien je ne ressens aucun soulagement, aucune euphorie, je ne ressens rien. Vous avouer que je pense que je n'ai plus de coeur, plus de coeur pour lui.
J'aimerais être capable de vous parler de mes amis et collègues de travail que j'apprécie tant. Ceux que je n'ai pas beaucoup vu cette semaine, étant donné la tempête et le travail qui m'enterrait. Vous parler de mon coéquipier qui arrive aisément à faire sortir des confidences de toutes huîtres refermées sur elles-mêmes. Vous parler de la spécialiste en contrôle conjugal qui prend en pitié les hommes contrôlants qui, finalement, ne l'ont pas facile. Vous parler de la secrétaire au grand coeur, qui est sans doute le femme la plus positive que j'ai jamais rencontrée. Vous parler de l'infirmière de l'esprit qui ne fait que passer, avec son sourire plein de sous-entendu. Vous parler du grand boss dont, faut le voir pour le croire, le médecin traitant semble avoir enfin trouver la dose optimale de Ritalin. Vous parler du moyen boss qui se magasine un burnout à une vitesse folle. Vous parler de la petite boss que revient d'un congé et qui, avec le pas de recul qu'elle a pris, semble trouver les situations plus ironiques que décevantes. Vous parler de mon milieu de travail où la folie voisine la sagesse et où les fous ne font pas tous partie de la clientèle.
J'aurais aimé trouver les mots pour vous parler de chacun de ces sujets, mais j'en suis incapable.

lundi 3 décembre 2007

je m'demande...

Martin Léon chante Je m'demande. Moi, je ne chante pas, mais je m'demande...
je m'demande à quoi tu penses
je m'demande à quoi ressemble ton monde idéal
je m'demande à quoi tu rêves
je m'demande à qui tu rêves
je m'demande ce qui se passe dans ta tête lorsque tu lis mes paroles
je m'demande ce que l'idéaliste en toi crie lorsque tu choisis d'essayer
je m'demande ce que tu veux
je m'demande ce qui te touche
je m'demande si tu crois que je pourrais un jour combler tes attentes
je m'demande si tu es bien dans mes bras
je m'demande si tu sais ce que tu fais
je m'demande si tu crois en nous
je m'demande quel est ce questionnement que je fais naître dans ta tête
je m'demande quels mots te feront sourire
je m'demande quel signe du destin attends-tu
je m'demande quel temps j'occupe dans ta pensée
je m'demande...
je m'demande si je veux vraiment savoir.

samedi 1 décembre 2007

soirée bizarre

Coloc et moi avons passé la soirée au Centreville. Au menu: repas chez Angéline et spectacle de Tricot Machine.
Nous avions choisi de se rendre chez Angéline, pour ne pas brusquer la routine de Coloc. En effet, depuis maintenant trois semaines, Coloc soupe chez Angéline le samedi soir. Il est vrai que la bouffe y est sucullente. L'ambiance visuelle est extraordinaire; on se croirait vraiment dans une rue d'Italie. Mais vraiment, je n'ai jamais entendu une aussi bonne musique! À quand le disque de compilation Angéline? C'est donc en écoutant Don't worry, be happy et en mangeant mon entrée de raviolis frits que le fou rire m'a prise. Ça, c'est de la chanson à texte, tout ce qu'il y a de plus italien! Coloc, qui a l'oeil sur un serveur de la boîte (ah! c'est pour ça qu'on se retrouve à chaque fois dans ce restaurant là!?!), est déçue de voir que c'est une serveuse qui vient s'occuper de notre table. Comme le fameux serveur se montre, j'encourage Coloc à monter sur la table pour attirer son attention. C'est à ce moment que notre serveuse nous a montré sa vraie nature: possessive! Voyant que Coloc lorgnait vers le fameux serveur, elle s'est empressée de nous offrir un café (pas de dessert par contre). Elle nous a apporté un café qu'elle nous a décrit comme le seul café sucré au menu (1- le fameux serveur a servi la semaine dernière un café ben plus digne de ce nom à Coloc, 2- je ne sais pas ce qu'elle lui trouvait de sucré au café, à part la crème fouettée, qui par définition est plusss grasse que sucrée). Le café était accompagné de notre facture! On a vraiment eu l'impression qu'elle avait besoin de la table! Puis là, elle nous a effrontément démontré qu'elle avait le contrôle en ne venant pas nous faire payer. Coloc en a profité pendant qu'elle avait le dos tourné et que le fameux serveur était à la caisse pour se joindre à lui et payer par carte. La serveuse lui a irrespectueusement dit d'attendre son tour. Elle est ensuite venue me faire payer et nous a délivrées de ses propres griffes. Malheureusement, pas d'invitation pour un québécois entre Coloc et le fameux serveur... Il va falloir y retourner!
Direction le spectacle! En première partie, Philémon Bergeron-Langlois: chaussures remarquables, à l'aise sur une scène (les chaussures, pas l'homme). Chansons à texte (pour vrai cette fois-ci), sans censure (demandons un rappel de la toune où il est question de manger mon corps et que dire de celle où il dit vouloir se frotter). Vraiment, un malaise planait dans la salle. Puis, Catherine et Matthieu ont pris le plancher. Piano, voix, cymbales. Le bonheur a envahi le coeur des spectateurs. Un bon spectacle, trop court! Un antidépresseur naturel!
En conclusion, c'est le coeur joyeux et rieur que Coloc et moi sommes revenues à la maison (sans mini-disque de Philémon, parce que tous vendus avant que nous ne revenions des toilettes).

décret officiel

Nous, soussignés, décrétons officiellement ce jour du 1e décembre Jour du Sapin.
Au programme des festivités : musique d’ambiance, boules de toutes sortes, sapin et lumières!



Mélamine
Cendrillon Moderne

P.S. : Pour apposer votre signature, envoyez-moi un commentaire et j’ajouterai votre nom avec plaisir!